will x no wonder i dont give a shit

(a)typical family la plupart des gens, quand je leur dis que je viens d'une famille un peu banale, puis qu'ils apprennent ensuite qu'elle est méga riche, ils ont un peu souvent tendance à me traiter de menteur ou à lever les yeux au ciel en pensant que j'me la raconte. Sauf que... bah, non, en fait. J'vois pas en quoi le compte en banque de mes parents devrait faire de nous des êtres incroyables aux récits digne des plus grands chefs-d'oeuvre hollywoodiens. J'veux dire... okay, ma mère est juge de grandes instance et mon père grand chef du fameuuux Promised Land, mais, à part peut-être le fait qu'on a peut-être été plus élevé par nos nourrisses avec mon frère et ma soeur, bah... j'ai rien de spécial à dire. J'ai pas eu de poney pour aucun de mes anniversaire, on va pas en vacances aux quatre coins du monde au moindre week-end de trois jours qui se profile, et on a été à l'école publique, comme tout le monde - façon d'parler. Tout comme on a pas été élevés comme des gros aristos et on se recevait pas de coup de fouet et d'heures de colle de bienséance au moindre gros mot qu'on prononçait - et heureusement, j'aurais pas été dans la merde, sinon... - Vraiment, le succès de nos parents n'a jamais été prétexte à une vie de grand luxe. Ils ont toujours attendu de nous d'avoir du respect, des principes, d'être intègre et de ne pas nous reposer sur nos acquits. C'est qu'ils viennent tous les deux de classe moyenne, et, heureusement pour nous tous, ils ont jamais oublié d'où ils venaient. the australian dream en toute honnêteté... j'ai jamais vraiment compris le délire de mes parents, celui de vouloir aller en Australie. On vivait déjà très bien, à Londres. Ma mère procureur, mon père chef d'un resto étoilé... Ils avaient pas leurs carrières décollant comme ici, mais on était quand même bien. Non pas que j'ai été contre le déménagement ou quoi que se soit -même si j'avoue que quitter tout ce que tu connais quand t'as même pas encore 16 ans, on aura vu mieux - et aujourd'hui, j'me suis tout à fait habitué a ma vie australienne que j'aime d'ailleurs beaucoup. c'est juste que... je sais pas, leur grand rêve australien, ça m'a toujours un peu dépassé. Bien sûr, aujourd'hui, si on regarde leur évolution par rapport à quand on était à Londres, on peut se dire qu'ils ont vraiment réussit, mais... de là à dire qu'ils avaient raison de déménager ? Je suis pas sûr. Je suis pas sûr qu'ils doivent ce succès à l'Australie. J'pense qu'ils ne doivent leur succès qu'à eux même. C'est juste qu'ils ont mit les bouchées triples après notre déménagement, bien trop pris dans leur aspirations et leur excitation de se retrouver de l'autre côté de la planète. Ce qu'ils ont pas l'air de se rendre compte... c'est que s'ils avaient mit autant d'ardeur en Angleterre, y'a 99% de chance pour que le résultat aurait été le même. like a model child okay, okay, y'a peut-être juste une chose qui rentre bien dans le cliché de la famille riche et qui semble souvent assez bizarre aux yeux des autres : le fait que je sois, en quelques sortes, considéré comme l'héritier Winthrop. Mais j'aime pas vous dire ces mots là, parce que si c'est vrai que mon père utilise souvent ce terme pour parler de moi... il le fait plus pour déconner qu'autre chose, en fait. Le truc, c'est que le plus grand flippe de mon père, c'est de devoir céder tout ce qu'il a pu bâtir ici, à sa retraite. Que son empire soit entre les mains d'un total inconnu et qu'il dénature tout. Du coup, quand j'ai commencé à grandir, et en voyant que j'avais aucune difficulté à ramener de bon résultats à l'école, mon père, il a de suite vu le bon filon. Et au moment où j'étais assez grand pour vraiment comprendre le merdier, il m'a demandé si je voulais bien être son apprenti, pour plus tard reprendre le restaurant. Moi, franchement, c'est pas vraiment un truc qui me bottait plus que ça. Mais quand j'ai vu à quel point c'était important pour lui, j'me voyais pas refuser. C'est pas comme si j'avais moi-même eu un grand rêve d'avenir, j'avais aucune foutue idée de ce que je voulais faire, à l'époque, donc bon. Si en plus, ça pouvait me faire passer plus de temps avec lui, lui comme moi, au final, c'était tout bénèf. Du coup j'ai étudié la gestion des entreprises, et j'ai commencé à bosser au resto. C'est pas du tout un métier facile et faut dealer avec un tas de trucs, mais bon, j'suppose qu'on s'y fait. Mon père m'a même appris à cuisiner. Encore une fois, c'est pas tellement un truc qui me transcende, mais bon... 'parait que j'suis doué. Fin, bon, j'ai l'air d'avoir été forcé, là, ais c'est pas l'cas, en vrai. Si j'avais dis non, j'sais qu'il aurait pas insisté. Y'a qu'à voir comment personne n'impose rien aux jumeaux. Et c'est pas du tout à cause de cette légende selon laquelle les plus p'tits de la familles sont toujours plus tranquilles. C'est juste parce qu'aussi étrange que ça puisse paraître, les parents riches sont pas forcément les plus strictes. Bon, après, tu me diras, c'est facile de pas être stricte quand on est simplement pas là.... parce que ouais, mine de rien, faut pas zapper le fait que mes parents, on les a pas vu des masses quand on étaient petits. Mais, bon. Je suppose que c'est juste un nouveau cliché de richard auquel notre famille correspond. rock and roll baby j'ai toujours été le genre de type qui aime s'amuser. Pas forcément faire la bringue jusqu'à pas d'heure et danser jusqu'à 6h du mat - pas du tout, même, j'ai un peu les boites en horreur pour tout vous dire - mais plutôt que j'aime faire les 400 coups avec mes potes, faire le con et pas penser aux conséquences. C'est ballot pour moi, parce que responsabilités ça devrait un peu être mon quotidien - en tout cas c'est sur que ça va vite le devenir - mais j'ai toujours été un peu kidult sur les bords. Pour moi, le monde parfait, ça serait un monde où on est pas obligé de se trouver une carrière, de travailler pour vivre. Où on pourrait juste vivre sa vie comme on l'entend, se poser avec des potes, rigoler de truc pas drôle ou encore se balader n'importe où où on veut. Mais je suppose que tout ça, c'est juste un mélange d'utopie et de candeur de ma part. J'sais bien qu'un truc pareil ça arrivera jamais - du moins, pas aux adultes - et qu'on obtient rien sans rien. Mais, bon. J'suppose que j'suis aussi un peu rêveur, parce que j'peux pas m'empêcher de quand même tout faire pour continuer au maximum à pas trop me prendre la tête tout en imaginant qu'un jour, mon monde de bisounours sur mesure arrivera pour de vrai. happily ever whatever et en attendant que mon monde de bisounours arrive... j'suis coincé dans la réalité. Celle ou j'dois bosser, celle où mon nom de famille est de ceux qui accrochent l'oreille de tout le monde, parce que tout le monde est persuadé de l'avoir entendu quelque part. Forcément, qu'ils l'ont entendu quelque part, avec les parents que j'me tape. Bon, j'vais pas me la jouer caliméro, non plus, j'sais bien qu'il y a bien plus horrible dans la vie que d'avoir des parents riches et célèbres dans leurs domaines. Mais du coup, moi, à cause de ça, depuis gamin, c'est la même rengaine dès que quelqu'un m'approche : j'me demande s'il vient me parler parce qu'il veut me parler, ou parce qu'il attend quelque chose de moi et surtout de mon fric. Parce que ouais, les vautours, j'peux vous assurer qu'ils existent. Et mes parents auront beau voulu nous donner l’éducation la plus modeste possible... l'environnement et l'entourage des riches, ça reste le même. C'est pour ça que j'ai voulu me prendre un appart loin de toutes ces conneries. Parce que j'en avais raz le cul, de ces ambiances où les amitiés entre les gens se décident en fonction de ce que vous pouvez leur rapporter, et non pas en fonction des affinités. J'en avais marre qu'on me prenne pour une vache à lait, j'en avais marre d'avoir enfin pensé trouver un vrai pote, et que trois mois plus tard, il te sort un "au fait, j'ai besoin de thunes". Et surtout, j'en avais marre qu'on me traite de péteux, et d'égoïste, à chaque fois que je refusais de leur passer leurs sommes astronomiques ou leur acheter je ne sais quelle voiture ou appartement. Du coup, ouais. J'ai coupé les ponts avec les cons. J'me suis cassé loin d'la bourgade de bourge ou on s'était installés. Et là, ça fait deux ou trois ans que j'suis arrivé là, au plein milieu du centre ville d'Adélaïde. Officiellement, c'est pour me rapprocher du taf, mais... en vrai, c'est juste pour m'éloigner de ces ambiances toxiques de riches. Du coup ouais, j'dis à personne combien de zéro y'a derrière mon compte en banque, et encore moins combien y'en a derrière celui de mes parents. J'dis pas que s'bosse au Promised Land en tant que futur boss. Et ça risque pas de changer. Parce que grâce à ça, j'suis devenu juste William. Et ça fait du bien. Putain, c'que ça fait du bien.

hello
Comment ça tu me laisses choisir le groupe ? Et si je fais une erreur ? et si ça te convient pas ? Au pire tu m'envoies un Mp et on te change de groupe si mon choix ne te va pas.  
"mon appart est un vrai bordel, j'ai dix fois plus de livres que de place pour les ranger" moi.  
J'aime bien qu'il soit terre-à-terre alors qu'il aurait la possibilité d'être un super connard, à montrer son argent à tout le monde, mais non. Et le fait qu'il ait accepté de travailler avec son père malgré que ce soit pas forcément ce qu'il aurait voulu faire juste parce qu'il aime son père c'est incroyablement mignon.  
Je trouve ton personnage vraiment top. Il est super attachant, il aurait pu être un gros bâtard, mais non il a juste dégagé les gens qui ne sont pas nocifs dans sa vie (ce que tout le monde devrait faire BTW) et ça se voit qu'il apprécie vraiment qu'on s'intéresse à lui pour lui et non pour son nom de famille.  
Pour moi il irait dans le groupe : rescue me, ceux qui consacrent du temps à leurs familles, William a quand même fait de nombreux sacrifices pour le bonheur de sa famille. "appréciés par tout le monde" bon pour son argent but still.
Je vais te MP parce que je me dis que si William a besoin d'un 'grand frère' mon gabriel peut convenir, surtout que lui c'est l'inverse dans son histoire familiale.  
En ce qui concerne ton écriture, j'ai pris un très grand plaisir à te lire ! et n'hésites pas à remplir un peu plus ton profil

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maintenant que le plus dur se trouve derrière toi, c'est un océan de possibilités qui s'ouvre à toi. mais avant même de commencer à chercher des liens avec les autres personnages, quelques demandes pourraient t'être nécessaires pour le bon développement de ton personnage, elles se trouvent toutes au même endroit.
sur good vibrations nous n'avons pas de fiche de liens c'est à toi de voir par rapport aux profils des autres membres avec qui ton personnage pourrait nouer des liens il y a aussi une partie recherche de liens pour te faciliter la tâche mais aussi un journal de bord pour tes rp et montrer l'évolution de ton personnages.
comme on est dans une société très attachée à la technologie, tu pourras également te créer un téléphone et un instagram.
hors jeu, le flood est présent pour combler le temps entre l'élaboration de tes réponses de rp ainsi que de nombreux jeux.
et puis surtout, amuses-toi bien